Saturday, November 18, 2006

Mon cas

J’accept qu’il se peut que la maladie recidive, mais comme je l’avais dit auparavant, la gripe le fait aussi, donc je vais me soigner de nouveau aux plantes et je sera guéri pour une autre vingtaine d’années. Est-ce-que vous, le malade souffrant de psoriasis, ne seriez-vous pas content de ça?

Donc, je voudrais que tous ceux qui vont lire ces lignes et qui sont atteints par psoriasis l’apprennent par moi et par ceux qui m’ont fait confiance; je voudrais qu’a l’avenir proche ils soient capables de dire eux aussi: “J’étais malade souffrant de psoriasis”.

Pour faire la preuve de ce dont j’ai écrit jusqu’ici, je commencerai par la présentation de mon cas.

Le début de la maladie a eu lieu dans les années quand j’etais élève au lycée militaire, où je m’y suis adapté très difficilement aux privations imposées. Loin de chez moi, de mes parents, puis le fait de me mouvoir dans un espace très étroit, entouré par des clôtures sous garde, l’impossibilité de sortir dans la ville quand on en avait envie, l’execution d’actions strictement ordonnées et imposées, tout cela sont seulement quelques unes de choses que j’ai du subir. À tout cela on ajoutait le stress provoqué par un professeur qui pandant trois ans me donnait chaque trimestre des notes qui me rendait tout le temps en repêchage, jusqu’au dernier moment du semestre, quand il me promova quand même.

Imaginez-vous le stress que j’avais toujours dans le troisième trimestre, quand je savais que si je n’avais pas surmonté le repêchage, je risquais d’être renvoyé du lycée. Et puis venait la dernière heure de cours du trimestre, quand j’était chaque fois promu. Et comme je l’avais dit, chaque trimestre, chaque année on m’administrait cette goutte de poison. Sur ce fond-là, mon organisme n’a pas resisté (j’avais une faible constitution) et je suis tombé malade de psoriasis.


Au commencement j’avais suivi un traitement aux différents onguents et solutions de décapage. Les lésions avaient l’air de guérir, mais assez vite elles récidivaient. Ce qui plus est le facteur stress qui etait toujours présent.

Après le cours du lycée militaire, j’ai suivi les cours de l’école d’officiers, où le stress et les privations etaient de plus en plus grandes et moi, je devais les supporter.

Après ma première année à l’école d’officiers, mon corps ne repondait plus aux onguents, il s’agissait déjà d’accoutumance et de la dépendence. J’ai du subir un traitement aux rayons ultra-violets. Un an après le traiement, les pauses necessaires y compris, donc en 1980, les rayons ultra-violets n’avaient plus l’effet du commencement. La maladie s’est propagée sur tout mon corps, le cuir chevelu y compris. Dans ce cas j’ai du subir pendant deux mois des séances aux rayons PUVA. À la suite de ces séances, les lésions étaient guéries en proportion de 95%, en restant encore seulement les traces des lésions guéries et quelques taches. L’année suivante j’ai changé de vie, donc une partie des éléments de stress ont disparus et la maladie n’a pas rechuté avec la même intensité, de sorte que j’ai réussi de reprendre mon traitement aux onguents, que j’ai suivi presque 2 ans.

Ensuite, en allant en excursions aux Montagnes de Vrancea, une vieille femme à laquelle j’ai parlé de ma souffrance m’a reccomendé de lire un livre sur la medecine populaire roumaine, plus exactement “Des remèdes de bonne-femme contre les maladies”. J’ai pris ce vieux livre aux pages jaunies par le temps, je l’ai copié mot-à-mot et c’est ainsi que j’ai fait la connaisance des effets benefiques de la phytothérapie.

Au commencement je n’y pas cru, mais les mots de la vieille femme me sont restés imprimés dans ma memoire jusqu’ici: “mon fils, essayez aussi de ces rèmedes de bonne-femme, vous n’avez rien à perdre”.

Et j’en ai suivi les conseilles de la vieille dame, j’ai lu le livre des dizaines de fois, et j’ai commencé à ramasser les plantes indiquées dans le livre, d’en faire de combinaisons et de les utiliser. À un certain point les resultats ont commencé d’apparaître, c’est à dire qu’en rennonçant aux onguents dont je ne pouvais pas m’en passer, j’ai reussi à resister en utilisant seulement le traitement naturel et sans diète alimentaire. C’est ainsi que le thé Deniplant est né.

À la suite de ce traitement empirique comme je l’avais nommé à l’époque, j’ai constaté que les lésions psoriasiques ne se formaient plus, les squames devenaient plus fines, en tombant plus facilement et à un ceratin moment il y avait même des endroits où elles ne s’y formaient plus. C’était le premier signe, l’espoir que j’ai acquis et qui me disait que j’allais guérir un bon jour.

Je ne peux pas dire que à partir de ce moment-là tout allait très bien et comme je l’aurais voulu, parce que le traitement était une permanente recherche, une experience continue. Il y avait pas mal de moments quand mon organisme ne repondait plus comme je l’aurais imaginé, quand les lésions sont reapparues, mais pas de la même intensité quand même. À l’époque je n’ai realisé pas de quoi il s’agissait, parce qu’il y avait encore cette oeuvre de recherche sur ma propre peau, avec des métodes rudimentaires. Je modifiais en permanence la formule, lorsque j’acquiessais de nouvelles connaisances sur les plantes, en y croyant et en desirant améliorer le traitement, pour le rendre plus rapide. Mais l’organisme réagisait en suivant des lois qu’il était le seul à connaître.

D’abord j’ai fait un extrait alcoolique et un décoction que j’ai mis en combinaison. Mais d’en boire chaque jour, chaque mois une bouillie de plantes qui n’avait pas un goût très agréable, ce n’était pas exactement ce que j’aurais voulu. Même si j’ai remarqué que la peau guérissait d’elle même, sans d’autres onguents ou régime alimentaire, j’était quand même tenté d’en appliquer des onguents, pour m’en sortir plus rapidement, parce que j’avais assez de toutes ces plantes. J’ai constaté que je jouais un tour à moi même. Aux endroits où j’appliquais des onguents, les lésions disparaissaient rapidement, c’est vrai, mais elles réapparaissaient aussi vite. Aux zones où je n’appliquais rien, les lésions disparaissaient plus lentement, mais elles ne réapparaissaient plus.

Comme je l’avais dit, au commencement j’ai utilisé cette combinaison de l’extrait alcoolique et de ma décoction. Ultérieurement j’ai constaté qu’en introduisant toutes les plantes directement dans la décoction, les résultats étaient meilleurs, mais le goût de la bouillie était de plus en plus difficile à supporter. Alors je me suis dit que je devais faire quelque chose pour que le traitement ait meilleur goût, pour le supporter plus facilement, avant qu’il ne devienne lui même un facteur de stress.

C’est ainsi que m’ai venue l’idée d’introduire le citron dans ce traitement. En le mettant dans le décoction, j’ai obtenu une boisson refraichisante au goût plaisant. Je n’était pas d’accord d’introduir des arômes plus ou moins naturelles pour améliorer le goût, comme on en fait pour certains thés.

Puis, j’ai essayé de transformer le thé Deniplant en tablettes effervescentes pour le rendre encore plus facile à administrer. Mais l’étude que j’ai réalisée a démontré qu’une partie des produits végéteaux que j’y ai introduits ne peut pas être copiée par synthèse, alors que les autres que j’ai obtenus peuvent mener à des réactions adverses et aux effets indesirables, pareils à presque tous les médicaments obtenus par synthèse. C’est pour ça que je me suis dit que Demiplant va rester qunad même un poudre de plantes et de fruits de forêt, un produit 100% naturel, ainsi il n’y aurait plus des manifestations désagréables tôt ou tard et le patient saura qu’il ne doit plus rien craindre.

À propos du régime de vie en ce qui concerne l’alimentation, je précise que je n’ai subi aucune privation, même si ce livre-là récommendait une diète. C’est vrai que j’ai amélioré le menu avec des legumes et des fruits, mais je n’ai pas privé mon organisme d’aucun aliment. J’ai mangé aussi de la viande de boeuf, de porc, de volaille et du poisson, tout ce dont j’avais envie et ainsi j’ai mené une vie normale. Je me rappèlle pourtant qu’au commencement je ne goûtai pas d’alcool. Je m’avais dit que c’était pour le mieux. Mais les jours de fêtes d’hiver sont arrivés et en buvant pourtant en quantités modérées, j’ai constate que le traitement n’était pas du tout affecté. À partir de ce jour-là j’ai consideré que ça ne vaut pas la pein de m’en priver de cet aliment, lorsqu’une boisson alcoolique bien dosée peut être consideré un aliment.

C’est ainsi que j’ai pu mener mon traitement jusqu’au but, jusqu’à la disparition totale des lésions. Mais ne croyez pas que ça c’est bien passé tout de suite. Il y avait des mois, même des années (deux ans et demie) quand j’en buvais de ce thé chaque jour. De puis ce moment-là (de plus de 15 ans) jusqu’ici je n’ai plus eu aucune problème avec le psoriasis.

Jusqu’en 1993 le psoriasis ne m’interéssait pas. Il y avait seulement deux personnes que j’ai aidé a se débarrasser de cette maladie. À l’insistance de quelques amis qui m’ont fait breveter cet produit et donc aider ainsi encore plus des malades, j’en ai pris la décision de faire cela et donc je l’ai fait.

Après avoir breveté le produit Deniplant, j’ai essayé de constater si ce traitement a de bons résultats pour d’autres personnes aussi, et j’en ai eu la confirmation. Ainsi, environ 70 à 80% de personnes qui on suivit le traitement à Deniplant ont obtenu des résultats possitifs. Mais il y avait aussi un taux de 20-30% de malades dont l’organisme n’a pas repondu à ce traitement. Donc si d’après un ou deux mois de traitement, on n’obtient pas d’amélioration, ça veut dire que l’organisme est encore dependent aux onguents et que les résultats sont négatifs. Il y avait aussi des personnes qui sont guéries en 5-6 mois, mais aussi il y en avait de ceux qui ont depassé déjà 3 ans de traitement. J’ai constaté aussi que chez les enfants, la guérison est plus rapide que chez l’adulte, dont la réaction est plus lente.

A partir des cas suivis, j’en ai constaté que l’evolution du traitement est la suivante:

Premièment (comme je l’ai précisé auparavant) on ne doit pas utiliser des onguents où d’autres médicaments, d’usage interne où externe. Même que bien paradoxalement, j’ai constaté que chez certains patients qui ont interrompu le traitement aux onguents pour une période assez lonque, leurs organisme est entré dans un certain équilibre, les lésions se sont stabilisées, la maladie n’en evoluant plus. Comme je l’avais encore dit, la maladie a était traitée à l’indifférence et les lésions se sont stabilisées seulement en certains endroits. Plus le malade essaye d’être guéri plus vite, plus l’equilibre de l’organisme se gâche et la maladie s’avance, en envahisant toul le corps.

Plus on entervient sur les lésions pour enlever les squames, plus la superficie de lésions devienne plus étendue et le processus de guérison est en rétard. C’est pour ça que j’ai avisé de ne s’en gratter pas les lésions, à fin de ne pas forcer la chute des squames.

Mais fais attention! Au moment ou toutes les lésions de la peau seront disparues, on ne doit pas interrompre brusquement l’administration du thé! Il faut en renoncer peu-à-peu, en buvant tous les deux jours maintenant, pendant les deux mois qui suivent. Si en ce temps-là on ne voit pas apparaitre acune tache, on peut alors rennoncer déffinitivement au thé. Cet aspect est très important, puicequ’il y a la possibilité que la peau soit guérie plus vite à la surface, alors que les causes internes ne soient pas définitivement solutionées.

En dépit de tellement d’années qui se sont écoulées depuis que j’ai constaté l’efficacité du thé Demiplant, sa commércialisation a commencé juste maintenant, parce que j’ai attendu de me convaîncre que beaucoup de patients réagisent bien à ce thé. Je ne vais pas énumérer ici les cas que j’ai solutionés pour qu’on n’entende pas que je veux me faire de la publicité. J’en suis convaincu que ce serez vous ceux qui me feront de la publicité, lorsque vous serez vous aussi convaincus de cette verité et que vous voudriez aider des autres malades.

S’il se peut que la théorie que j’ai ennoncée a quand même des lacunes et donc elle peut être combattue, il n’y a pas personne qui puisse le dire, à moi et bien aux autres malades, que nous ne sommes pas guéris du psoriasis.

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