Tuesday, October 17, 2006

LES PRINCIPES DE BASE DE LA PHITOTHÉRAPIE


-Règles et conseils d’application-

À la base de la valeur thérapeutique de plantes médicinales se trouve la rélation entre la structure chimique des substances actives et leur action pharmacodynamique qu’elles excercent auprès des éléments réactifs de l’organisme. Certaines plantes ont des propriétés pharmacodynamiques multiples du au fait que la plupart des plantes médicinales ont une composition chimique complexe, à partir de deux-trois composés et finissent par 20 –30 substances chimiques identifiées. Lorsqu’on utilise du thé médicinal ou des mélanges de teintures, des plantes en poudre ou d’autres formes pharmaceutiques qui contiennent des substances actives différentes, leur action pharmacodynamique peut être potentialisée ou diminuée. Dans d’autres situations, non seulement que l’association erronnée peut conduire à l’insuccès de l’intention thérapeuthique, mais on peut entraîner des effets secondaires contraires et nocifs, mieux connus comme des réactions adverses. Un traitement correcte est un traitement qui suit à un diagnostic correcte, or cela peut se faire seulement basé sur des examens clinique et de laboratoire, faits par des médecins.

De ces données présentées ici se détache le premier principe de la phitothérapie, c’est à dire que le produit pharmaceutique obtenu à partir de plantes doit être efficace et du tout nocif pour l’organisme, un principe que moi aussi j’ai réspecté rigoureusement. Toutes les plantes utilisées pour obtenir le thé Deniplant et bien aussi les teintures, ne sont pas nocives et n’entraînent pas de réactions adverses, même en les utilisant long temps.

Le deuxième principe de la phitothérapie est d’utiliser des variétés de plantes les plus appropriées au traitement de l’affection dont le malade souffre, en accentuant particulièrement la tolérance innée ou acquise et aussi la biodisponibilité individualisée du médicament en question. Afin d’obtenir des effets thérapeutiques contre le psoriasis, qui est une maladie chronique, il nous en faut un traitement de longue durée et bien conduit, fait scrupuleusement en réspectant en même temps toutes les autres indications.

Le troisième principe de la phitothérapie met l’accent sur tous le facteurs thérapeutiques et sur la nécessité de suivre un régime alimentaire approprié. Dans mon cas, je suis parti de l’idée selon laquelle l’organisme humain ne doit pas être privé par des régimes alimentaires très strictes, où certains aliments sont à proscrire et d’autres y sont recommandés, parce que l’être humain ne peut pas vivre toute une vie en s’en privant. Et puis il y a encore la possibilité que lorsqu’on arrête le régime, on aura une rechute. C’est à cause de cela que j’ai suivi seulement partiellement ce principe en m’offrant une alimentation banale, mais sans excès ni abus. En même temps j’ai mis l’accent sur les autres facteurs thérapeutiques dont je vous parlerai au moment approprie.

Le résultat que j’ai obtenu c’était la suite logique du fait que les plantes médicinales s’adressent par définition a l’organisme en entier et pas nécessairement à un certain organe, ce qui est extrèmement important, lorsqu’on sait que la plus banale des souffrances ne se maintient passeulement dans un endroit de l’organisme, mais elle a des répercussions sur l’enssemble, même si on l’ignore.

La phitothérapie donc ne s’adresse pas à la maladie, mais au malade.

Quand je suis tombé malade de Psoriazis, j’avais en face de moi la pérspective sombre de tous ces cas sans solutions, mais je me souvenais aussi de ce qu’en disait le renommé phitothérapeute Ovidiu Bojor: “L’organisme humain ressemble dans son ensemble à un mécanisme qui momentanément ne fonctionne plus parfaitement. Si on veut rendre ce mécanisme à son état initial, il faut découvrir le ou les sous-ensembles du mécanisme qui ont déclenché la “grippage” du moteur”.

Dans le cas de la machine, cette opération est simple, on l’examine pièce par pièce jusqu’au moment où on trouve ce qui a produit la déféction. Mais dans le cas de l’être humain, pour que la “machine” fonctionne, on devrait vérifier l’état des tous les cellules parce qu’au fond la maladie se produit au niveau cellulaire. Naturellement, la chimiothérapie, comme aussi la phitothérapie, essaient de prévenir ou de réparer les dérèglements survenus, mais la tournevis naturelle de la phitothérapie est un peu plus fine que celle artificielle de la chimiothérapie de synthèse et s’accorde mieux à beaucoup plus de cellules, parce qu’elle est partie intègrante de la vie, un résultat du processus vital cellulaire. Ce que la cellule végétale de la plante nous en offre est plus proche de la cellule animale de notre organisme.

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